Privé. Accessible par le télésiège du Baguet, ce buron a été transformé en restaurant d'altitude en hiver. |
Sentinelles des montagnes, les burons étaient des fermes d'altitude où l'on fabriquait le Cantal de mai à octobre. Avec ses 875 hectares d'estives, Laveissière a compté une vingtaine de burons. Aujourd'hui, cinq ont été restaurés, dont deux sont communaux.
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Privé. Accessible par le télésiège du Baguet, ce buron a été transformé en restaurant d'altitude en hiver. En ruines. En ruines. Trois burons ont été en activité sur cette montagne. Celui dont les murs sont encore debouts était en activité jusque dans les années 1960. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il fut occupé par les Allemands, venus dissuader la constitution de maquis dans les estives. Le châssis d'un Half-Trak était visible jusque dans les années 2000. En ruines. Deux groupes de burons occupaient cette montagne qui fut boisée dans les années 1930. Dans les années 1970, l'un était encore occupé par une femme gardant un troupeau de vaches. En ruines. Caché au milieu de la forêt domaniale de Murat, le buron du Lissart abrita le maquis Bartho d'octobre à décembre 1943, grâce à la complicité au brigadier Saunières qui travaillait à l'administration des Eaux et Forêts. Il était dirigé par Alfred Coutarel et comptait une quinzaine de réfractaires. En ruines. Suite au boisement de la forêt à la fin du XIXe siècle, le buron de la Chauzière est plongé aujourd'hui dans les bois.
Privé.
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Il se situait à proximité de la patinoire et seule la cave subsistait avant d'être définitivement rasée vers les années 1980. Un procès-verbal de 1849 décrit le buron : "avec un premier niveau comprenant une cuisine avec une belle cheminée et avec une belle cave à sa suite, sous voûte, et un deuxième niveau réservé au grenier à foin et aux céréales".
En ruines.
En ruines.
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