Appelé entrabar en Haute-Auvergne, le travail à ferrer permettait à un forgeron, qui faisait office de maréchal-ferrant, de ferrer une bête en toute sécurité. Le but était de protéger le sabot des boeufs, des vaches ou des chevaux qui servaient aux travaux des champs. Il était constitué d’un cadre en bois très robuste dans lequel la bête était entravée à l’aide de sangles, autrefois en chanvre tressé, actionnées par deux rouleaux. L'animal était légèrement soulevé par deux ventrières, ses cornes étaient attachées à une « têtière » en bois ou la tête de l'animal était fixée avec des lanières en cuir à un joug.
On trouve encore cinq travails à ferrer sur la commune : à Fraisse-Haut, Fraisse-Bas, La Bastide, Le Meynial et Chambeuil.